Yoga doux

le mardi à 11h00

“La douceur est invincible”, écrivait Marc-Aurèle. Et elle a toute sa place sur un tapis de yoga. La douceur n’est pas mièvrerie ni mollesse, elle est au contraire extrêmement puissante. Puissante pour désarmer le ressentiment, la haine, la colère, on peut faire d’elle une arme, comme l’écrit Anne Dufourmantelle dans Puissance de la douceur pour aller contre la brutalisation du monde d’aujourd’hui. La douceur est une fête des sens, du sensible, un mode d’être et une force de transformation.

Mes cours de Yoga Doux visent la détente, le relâché du corps et du mental. Le travail dans les postures apporte quant à lui un assouplissement progressif et une bonne mobilité articulaire.

La séance commence par une prise de conscience du corps au sol puis introduit progressivement des mouvements au sol pour réveiller la colonne vertébrale. Viennent ensuite les postures de yoga proprement dites. Enfin, une relaxation profonde clôt la séance.

Chaque élève pratique en fonction de son état, et à son rythme. Il apprend à porter son attention sur les sensations créées par les petits mouvements réalisés au sol puis par les postures proposées. Il affine sa proprioception (son auto-perception), renforce sa concentration. Il apprend à synchroniser mouvement et respiration.

Dans le travail des postures, mon cours de Yoga Doux est avant tout un cours de Yoga postural où l’on vient travailler en profondeur les bons placements dans des postures simples qui permettent de réaligner l’organisation squelettique. On prend le temps de remettre son schéma postural en place et on fait de l’espace à l’intérieur grâce aux étirements et à la respiration. On sort du cours avec la sensation d’avoir été son propre ostéopathe.

Le cours est ouvert aux personnes n’ayant jamais fait de yoga.

Le MARDI 11h-12h, Salle Riblette, 5 rue Saint Blaise, 75020

(le cours du mardi 11h n’a pas encore repris)

“La douceur est d’abord une intelligence, de celle qui porte la vie, et la sauve et l’accroît. Parce qu’elle fait preuve d’un rapport au monde qui sublime l’étonnement, la peur en pur acquiescement, elle peut modifier toute chose et tout être. Elle est une appréhension de la relation à l’autre dont la tendresse est la quintessence”, Anne Dufourmantelle, Puissance de la douceur.